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La mafia médicale

Ghislaine Lanctôt, médecin canadien, aujourd’hui interdite de pratique médicale, a écrit, un très interpellant ouvrage sur les systèmes de santé européens et nord-américains: « La Mafia Médicale ». Voici quelques extraits instructifs au sujet du monde dans lequel nous vivons : 700.000 Américains meurent chaque année des effets secondaires des médicaments. Le tiers des hospitalisations sont dues aux effets nocifs des médicaments aux USA .

De 1910 à 1925, grâce aux règles établies dans le « Rapport Flexner », l’Association Médicale Américaine et l’Association des Collèges Américain de Médecine éliminèrent la grande majorité des soignants médicaux, notamment les femmes et les noirs. Au nom de la science et de la qualité de la pratique de la médecine, l’on exigea des écoles de médecine qu’elles adoptent les recommandations du « Rapport Flexner ». C’est le régime de la terreur médicale. Elles devaient prendre le virage «scientifique», imposé par ce dernier et financé par la fondation Rockefeller, sous peine de disparition.

En 1977, la Déclaration d’Alma Ata donnait à l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) le moyen d’étendre le « Rapport Flexner », non plus seulement à l’Amérique du Nord, mais au monde entier. L’on déplaça ainsi le contrôle de la santé des mains des gouvernements nationaux vers le gouvernement mondial. On déposséda les pays de leur souveraineté, en matière médicale et on la transféra à un gouvernement mondial, non élu, dont le ministère de la santé est l’OMS. Mais qui est donc à la tête de l’OMS ? Nul autre que nos financiers mondiaux et les responsables du « Rapport Flexner » (Rockefeller et les industries pharmaceutiques). Et que signifie le droit à la santé ? Il signifie le droit à la médicalisation. C’est la porte grande ouverte à la médecine de maladie mondiale, qu’on le veuille ou non. Ainsi, on impose les vaccinations et les médicaments à toutes les populations du globe.

Qui oserait douter des bonnes intentions de l’OMS ? Mais nous sommes-nous déjà demandés qui contrôlait l’OMS ?  Là est la question et aussi la réponse: l’ONU, l’organisme des financiers mondiaux. De plus en plus subtilement, les autorités médicales et politiques nous dépossèdent de nos biens et de nos droits et nous mutilent. C’est un monopole mondial. Gare à qui s’y oppose. L’inquisition continue… et la chasse aux sorcières se poursuit au 21e siècle, mondialement.



Chaque année, nous consacrons trois mois et demi de notre salaire uniquement pour payer notre assurance maladie. Trois mois et demi de travail pour avoir le privilège d’être malade.


La médecine scientifique fait disparaître le symptôme et le signe, c’est-à-dire la manifestation dans le corps physique de la maladie. Elle ne guérit pas. Elle ne fait que couper la pointe de l’iceberg. Elle donne l’illusion de la guérison. »

Prenons, par exemple, le mal de tête. Le symptôme qui amène le patient à consulter est sa douleur. Si on lui donne un médicament pour le soulager, la douleur disparaîtra, mais le mal réapparaîtra dès que l’effet du médicament sera dissipé. Comme on n’a pas remédié à la cause du mal, ce dernier reviendra de plus en plus fort et de plus en plus fréquemment.

Contrairement à la médecine allopathique qui soigne la maladie, les médecines douces soignent le malade. Elles connaissent l’importance du terrain (état de santé général) et pratiquent une médecine de renforcement des défenses. Leur but est de nettoyer et d’assainir le terrain du patient de façon à ce qu’il puisse se défendre contre tout agent nuisible.

La soumission se traduit, en symptômes, par l’impuissance et la désespérance, deux causes reconnues comme capitales pour les cas de cancer et de suicide. La soumission nous réduit au robot, à la machine serviable, à la marchandise rentable. Elle nous enlève nos fonctions supérieures de conscience et de volonté. Soumission veut dire «mettre sous». La soumission est la grande cause de la maladie. Paradoxalement, tout notre système encourage la soumission: l’école récompense l’enfant sage et punit l’insoumis, l’université enseigne l’uniformisation et décourage la créativité, l’establishment punit sévèrement la désobéissance, on marginalise la différence. La pire forme de soumission que l’on puisse imposer à un peuple, c’est l’assistanat. Et nous sommes tous des assistés. Assurance maladie, assurance chômage, assurance vie, etc. Les autorités tiennent à nous faire croire que nous sommes incapables de nous assumer. »

La peur paralyse la conscience. Elle rend aveugle et impuissant. Or la peur augmente continuellement dans notre société avec la criminalité, les pertes d’emploi, les faillites, la récession, la maladie, les guerres, etc. La peur est le véhicule de la maladie. »

La pauvreté semble être la plus grande cause de la maladie. Malgré cela, nos gouvernements réduisent de façon drastique les subsides accordés aux services sociaux et passent des ententes économiques qui plongent nos entreprises dans le précipice de la compétition internationale, insoutenable pour la majorité.

Si le patient paie, ce n’est pas lui qui décide, mais les assurances privées ou gouvernementales qui prennent notre argent et l’affectent à ce que bon leur semble. Dès que nous confions notre argent à un autre, nous en perdons le contrôle. Ils ont dès lors tout le loisir et tout le pouvoir de faire ce qu’ils veulent avec notre argent. Ce sont eux les acteurs du système et nous sommes devenus les spectateurs passifs et impuissants.

Le praticien est lui aussi dépossédé de son pouvoir. Lui aussi est réduit au rôle de spectateur passif et impuissant. En effet, le médecin n’a pas accès à l’information médicale et encore moins à la pratique qui lui semble la meilleure pour son patient. Ce sont les autorités, les institutions médicales toutes-puissantes qui décident du type de médecine pratiquée.

Le patient c’est le client. Il est l’employeur, le payeur, c’est lui qui a le pouvoir décisionnel. Les autres joueurs constituent le corps du système. On parle d’ailleurs de corps médical. En fait nous réalisons qu’il en est tout autrement. Le système est renversé. C’est le patient qui est aux ordres du système de maladie. La bascule du système s’effectue par l’intermédiaire des autorités qui s’immiscent entre le client (le patient) et le corps médical. Les autorités sont un artifice destiné à répondre à des besoins créés artificiellement : sécurité et protection. Elles constituent l’outil de l’usurpation du pouvoir par l’industrie, le paravent derrière lequel l’industrie tire ses ficelles.

  

Pourquoi a-t-on établit un ordre ? N’y en avait-il pas un déjà ? La nature a-t-elle besoin d’être gouvernée ? Les fleurs attendent qu’on les programme pour savoir quand éclore et quand faner ? L’ordre établi est venu supplanter l’ordre naturel. Il est acquis. Il s’impose par la force, la violence. Il établit, met en place ses hommes (les autorités) et leur donne du pouvoir sur les autres. Il fait ses propres lois et les impose par les tribunaux, la police, l’armée. Il va à l’encontre de la nature et de la loi naturelle et donc doit utiliser la force pour y parvenir. C’est la guerre et la maladie.

L’establishment n’est pas que médical. Il existe dans tous les systèmes: politique, financier, religieux, universitaire, médiatique, agro-alimentaire, éducatif, artistique, sportif, etc. Tous ces establishments sont identiques et permettent à des privilégiés de se regrouper pour maintenir leurs privilèges. Ces privilégiés se tiennent les coudes pour nous exploiter, nous, la masse des non privilégiés. Toutes ces autorités, de quelques domaines que ce soit, sont amies, même si elles se querellent parfois. Elles s’entraident les unes les autres pour nous dominer et nous exploiter. C’est l’alliance des pouvoirs. »

La composition de la mafia médicale: le père c’est le parrain, c’est l’industrie. C’est le pourvoyeur et le décideur. Le gouvernement c’est la mère, elle est responsable de la maison. Elle établit les règlements et s’assure que les devoirs sont faits. Tout le monde la prend pour une sainte, alors qu’elle obéit au parrain et sert ses intérêts. Ils ont des enfants: le comptable qui perçoit l’argent et le dirige vers le parrain. Le juge: il maintient l’autorité et les privilèges du parrain. Le syndicat: il assure la soumission des employés au parrain. La mafia a aussi des personnes de confiance. L’informateur assure la soumission par la douceur. Il contrôle l’information, les congrès, les cours, les publications scientifiques, la publicité, etc. Le policier: assure la soumission par la force, pour mater les cerveaux rebelles, c’est le complément de l’informateur. Les complices: le médecin, le fonctionnaire, le scientifique.

Pourquoi la mafia jouit-elle de la protection des puissants, des autorités financières, politiques, religieuses ? C’est parce que le gouvernement est aussi une mafia. Le tandem mafia-gouvernement est vieux comme le monde. Le premier veut l’argent, le deuxième veut le pouvoir.

Le seul véritable pouvoir, le seul qui soit légitime, qui ait le droit d’existence, c’est le pouvoir de chaque personne, la souveraineté de l’individu. Toute autre souveraineté, y compris celle du gouvernement, est une usurpation de pouvoir.

En démocratie, nous sommes persuadés que nous détenons le pouvoir décisionnel, via le suffrage universel. Avons-nous réfléchi à ce que représente la démocratie dans laquelle nous vivons ? Elle consiste à mettre un X tous les cinq ans à côté d’un des noms déjà choisis par les autorités établies. C’est cela vivre en pays démocratique! Il serait temps de constater le résultat de ce régime: guerres, famines, maladies et pauvreté en conséquence de l’exploitation et la domination de la majorité par la minorité.


Voici quelques instructifs extraits au sujet du monde dans lequel nous vivons:

La tactique de la mafia médicale :

  1. Surveiller les intérêts des multinationales industrielles et ne rien faire tant qu’ils ne sont pas menacés.
  2. Interdire toute thérapie, personne ou produit qui, en améliorant la santé, puisse menacer les profits des multinationales industrielles, toujours au nom du charlatanisme et de la protection du public. Commencer la chasse aux sorcières. La mafia manipule les lois à volonté. Elle est très à l’aise avec les poursuites judiciaires.
  3. Récupérer la thérapie sous son aile et la contrôler entièrement si ces mesures ne suffisent pas à stopper la concurrence qui pourrait menacer les multinationales industrielles. Le charlatanisme d’hier devient alors bienfait d’aujourd’hui sous la protection de la mafia.
  4. Faire tranquillement basculer la thérapie vers la technologie scientifique par le biais du contrôle de la formation et des modalités de la pratique.

Les armes de la mafia sont toujours les mêmes :

  1. Diviser pour régner. La fin justifie les moyens.
  2. Faire des lois à volonté. Les défaire, les refaire, les contrefaire selon leurs besoins.
  3. Compliquer le système et le vocabulaire pour que le public n’y comprenne rien. Lui compliquer aussi l’accès à la thérapie pour qu’il se décourage.
  4. Mater les insoumis par tous les moyens. Au début, les déclarer illégaux et les éliminer. Plus tard, leur offrir un statut légal, les intégrer et les contrôler.

Les erreurs des médecins :

  1. Se quereller entre eux. Compétitionner au lieu de collaborer. Juger les autres.
  2. Se quereller avec la mafia. Attaquer ou défendre, c’est jouer à la guerre, c’est mener des batailles dans lesquelles la mafia est championne. Elle contrôle les lois, ainsi que l’appareil judiciaire, policier. C’est une perte de temps et d’énergie totale.
  3. Se faire reconnaître par les autorités : diplômes, attestations, approbations, corporations professionnelles, associations, écoles. C’est donner son pouvoir à l’extérieur. C’est oublier sa souveraineté individuelle.
  4. Conclure des ententes avec les membres de la mafia: syndicat, école, assurance, etc. C’est oublier qu’ils sont tous à la solde des multinationales industrielles.

Le couple multinationale-gouvernement est la pierre angulaire de toute mafia.

Ce même partenariat industrie-gouvernement se retrouve à l’échelle mondiale. Il est le produit du gouvernement mondial : l’Onu. Le parrain mondial c’est le financier mondial qui investit dans tous les domaines pour faire des profits. Son slogan est le suivant : «plus il y a de patients, plus ils sont malades souvent, plus ils sont malades longtemps, plus c’est payant» Pour le concrétiser plus rapidement, il empoisonne les aliments (agro-alimentaire) et pollue la terre, l’eau et l’air (industries chimiques).

L’OMS (l’Organisation Mondiale de la Santé) est le ministère mondial de la santé. Elle est mariée aux financiers mondiaux. Son allégeance lui est entière et exclusive. Comme toute bonne mère, elle passe pour une bonne personne, soucieuse du bien-être de tous. Elle donne l’impression d’être au-dessus des mesquineries et étroitesse des gouvernements nationaux. Elle soutient les médecines douces. Mais la «santé pour tous», version OMS implique médicalisation et vaccination pour tous. C’est-à-dire la maladie pour tous.

«La concurrence est un péché» - John Davison Rockefeller


Les personnes ne sont plus des êtres vivants avec des sentiments, mais plutôt une marchandise à exploiter :

  • Il faut vendre
  • Il faut que les médicaments ne guérissent pas. Pour cela ils ne traitent que les symptômes.
  • Il faut que les médicaments rendent plus malades.
  • Il faut que les médicaments soient imposés.
  • Il faut que la concurrence soit éliminée.
  • Il faut contrôler l’information.
  • Il faut que la recherche scientifique soit profitable.
  • Il faut vendre ses produits le plus cher possible.

En 1905, le taux de mortalité due à la variole s’élevait aux Philippines, à 10 %. Après une vaccination massive, se déclara une épidémie qui frappa mortellement 25 % de la population dûment vaccinée. Malgré cet échec, les autorités intensifièrent les vaccinations. En 1918, la pire épidémie tua 54 % des personnes, alors que la population était vaccinée à 95 %. L’Île de Mindanao, où les indigènes avaient refusé la vaccination, fut la moins touchée: 11,4 %. Malgré ces évidences, la vaccination antivariolique continua et l’OMS lança, en 1966, une campagne mondiale qui dura 10 ans.

« Vacciner c’est remplacer une immunité naturelle par une immunité artificielle. »

Les autorités détiennent l’information, mais elles la verrouillent. Il leur faudra 45 ans avant de divulguer la contamination de 175 000 à 600 000 soldats américains par l’hépatite B, dont le virus était présent dans le vaccin contre la fièvre jaune.

Au États-Unis, 20 % des enfants souffrent de «désordre du développement» consécutif aux encéphalites causées par les vaccins. D’où le bouleversement du système d’éducation, incapable de scolariser un tel nombre d’enfants qui ne peuvent ni lire, ni écrire. D’où, en partie, une vague de violence sociale et de crimes perpétrés par des personnalités sociopathes créées par les vaccins. D’où l’usage explosif du Ritalin sur les enfants. On les drogue, tout simplement.

En 1973, des chercheurs démontrèrent que les taux de tumeurs cérébrales étaient treize fois plus élevés chez les enfants nés de mères vaccinées contre la poliomyélite durant leur grossesse.

Sachons que 45 % des fonds de l’Unicef sont affectés à la vaccination des pays du tiers-monde, tandis que seulement 17 % sont consacrés à l’eau et à l’assainissement. Les enfants du tiers-monde ont besoin d’eau propre et de nourriture et non d’agents agressifs qui les font mourir comme des mouches.

Les commanditaires de la conférence d’Alma Ata étaient les suivants : la Fondation Rockefeller, la Banque Mondiale et l’Unicef. Les financiers du monde sponsorisant la santé du monde, quelle générosité…

Pour atteindre son objectif louable de la «santé pour tous en l’an 2000» sainte OMS préconise la vaccination de tous les enfants du monde contre six maladies. Elle lance son Programme Élargi de Vaccination. Un comité pour vacciner les enfants du monde est alors constitué avec Robert McNamara, ancien président de la Banque Mondiale, Jonas Salk, directeur du Salk Institute (fabricant de vaccins) et Van den Hoven, président d’Unilever…

L’Unicef est encouragée, dans sa noble aventure, par la fondation Mérieux (qui possède 30 % du marché mondial de la fabrication des vaccins) et l’Institut Pasteur. Quelle générosité…

En 1989, pour imposer aux enfants les programmes de vaccination et vaincre les résistances et les oppositions d’adultes récalcitrants, sainte OMS va chercher des outils contraignants. Toujours pour le bien des enfants évidemment, elle fait adopter par l’Onu, la Convention des Droits de l’Enfant :

  1. Établit la notion de citoyenneté de l’enfant.
  2. Remplace le droit d’autorité des parents par un devoir d’obéissance aux autorités administratives.
  3. Autorise les autorités à séparer un enfant de parents négligents.

Cette convention permet aux autorités d’imposer par la force, contre le gré des parents :

  1. Les vaccins aux opposants à la vaccination.
  2. La médecine «scientifique» aux adeptes de la médecine douce.
  3. Les traitements médicamenteux sévères à ceux qui les refusent (tel l’AZT pour le Sida, ou la chimiothérapie pour les cancers, par exemple).

Ce ne sont ni les parents, ni les enfants, ni les patients, ni les médecins, ni les autorités de notre pays qui contrôlent notre santé, mais bien les financiers mondiaux, cachés derrière la toute vénérée et respectée sainte OMS.


Voici quelques instructifs extraits au sujet du monde dans lequel nous vivons :

Répétée, la vaccination épuise le système immunitaire. Elle confère une sécurité trompeuse, puisqu’elle ouvre toute grande la porte à toutes les maladies, notamment aux maladies du Sida qui ne peut se développer que sur un terrain immunitaire perturbé.

La vaccination encourage la dépendance médicale et renforce la croyance en l’inefficacité de notre système immunitaire. Elle crée des assistés permanents. Elle remplace la confiance en soi par la confiance aveugle en l’extérieur. »

Robert McNamara, ancien président de la Banque Mondiale, ancien secrétaire d’État des États-Unis qui ordonna les bombardements massifs du Vietnam: «Il faut prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations. Réduire les taux de natalité s’est avéré impossible ou insuffisant. Il faut donc augmenter le taux de mortalité. Comment ? Par des moyens naturels : la famine et la maladie.

Au cours du procès intenté à la CIA, le Dr Gotlieb, cancérologue, a reconnu avoir déversé, en octobre 1960, une grande quantité de virus dans le fleuve Congo au Zaïre pour le polluer et contaminer les populations qui utilisaient son eau. Le Dr Gotlieb a été nommé à la tête du National Cancer Institute.

Comme par hasard, l’Afrique – surtout les pays du centre et du sud – contient des ressources fabuleuses qui ont toujours suscité la convoitise des Occidentaux.

Le vaccin de l’hépatite B est fabriqué par manipulation génétique : il est donc beaucoup plus dangereux que le vaccin traditionnel parce qu’il inocule dans l’organisme des cellules étrangères à son code génétique. Ce vaccin, produit à partir de virus cultivé sur des ovaires de hamster chinois, est réputé pour occasionner de la fibromyalgie et la sclérose en plaques. Malgré cela, il jouit d’une grande popularité auprès des autorités, qui l’imposent d’abord par la force à tous ceux qui travaillent dans le domaine de la santé, puis au reste de la population (ndlr: en Afrique). »

En 1988, au cours d’une interview à la radio, un ambassadeur du Sénégal rapportait les ravages du sida dans son pays, où des villages entiers sont décimés. Quelques années auparavant, des équipes scientifiques et médicales étaient venues vacciner leurs habitants contre l’hépatite B. La maladie touchait les personnes vaccinées…



En 1978, l’on procéda aux essais d’un nouveau vaccin sur les homosexuels de New York et, en 1980 sur ceux de San Francisco, Los Angeles, Denver, Chicago et Saint-Louis. Ce «nouveau vaccin», officiellement contre l’hépatite B, causa la mort par sida de plusieurs d’entre eux, comme nous le savons maintenant. Le programme de vaccination des homosexuels contre l’hépatite B était commandé par l’OMS et le National Institut of Health. »

Non contentes de nous avoir inculqué la croyance selon laquelle les vaccinations sont efficaces et inoffensives, les autorités entretiennent une autre légende tout aussi dépourvu de fondement: les vaccinations auraient enrayé les grandes épidémies. Or, les épidémies avaient presque entièrement disparu quand les vaccins sont apparus sur le marché. Les livres sur les vaccins (non écrits par l’establishment) démontrent que la régression des grandes maladies est due à l’amélioration des conditions de vie, et notamment l’hygiène. »

En 1934, Royal Rife et un groupe de médecins, sous les auspices de l’Université de Southern California, ont exposé leurs succès cliniques: ils parvenaient à détruire les micro-organismes du cancer, au moyen d’une longueur d’onde électromagnétique précise. Pendant les années qui suivirent, la technique de traitement du cancer par ondes électromagnétiques se répandit. Plusieurs médecins l’utilisèrent avec succès, mais pas longtemps… Lorsque Morris Fishbein, directeur de l’American Medical Association entendit parler du traitement du cancer, il exigea qu’on lui cède les intérêts dans l’entreprise, ce qui lui fut refusé. Les conséquences d’un tel refus ne se firent pas attendre. Les médecins furent forcés d’abandonner la nouvelle technique. Dans les revues médicales tous les articles consacrés à ce traitement furent interdits par l’AMA. »

Il existe deux positions diamétralement opposées au sein du corps médical. L’une défendue par la médecine de maladie (ndrl: Pasteur) prétend que c’est un agent unique qui fait apparaître la maladie. L’agent est un ennemi extérieur à l’organisme. Il nous agresse et menace notre santé. C’est la théorie du microbe. En cas de maladie, cette théorie part à la recherche de l’agent extérieur ennemi et lui fait la guerre.

L’autre défendue par la médecine de santé (ndlr: Béchamp) affirme que c’est l’organisme lui-même qui fabrique à l’intérieur de la cellule, les agents variés qui font apparaître la maladie. L’agent est un ami intérieur à l’organisme. Il tend à rétablir l’équilibre de notre système écologique. Si son milieu naturel est perturbé, alors il devient morbide et la maladie apparaît. Si l’on rétablit son milieu naturel, il revient à son état normal et la maladie disparaît automatiquement. »

La décision de maintenir la médecine pasteurienne est prise à l’échelle mondiale, par l’OMS. Pour dominer le monde, il faut maintenir la soumission. Appliquer la théorie de Pasteur maintient une pratique de médecine de maladie et entretient chez nous des sentiments:

  • d’impuissance vis-à-vis des forces extérieures
  • de dépendance vis-à-vis des autorités extérieures
  • de victimisation par rapport à des gens et des événements extérieurs à nous.

Ils sont nombreux les partisans de Béchamp. L’histoire en a connu plusieurs, qui ont tenté de faire valoir sa théorie. Ils ont tous été condamnés au silence, soit par la persuasion, soit par la force.

Naessens a inventé un microscope extrêmement astucieux qui permet non seulement de très bien voir les petites particules (microzymas) décrites par Béchamp, mais toutes les différentes formes qu’elles peuvent prendre. Il peut conclure aux maladies présentes suivant leurs formes présentes. Il peut évaluer l’état du terrain et corriger ses déficiences pour éviter que la maladie n’apparaisse. La vraie prévention.

Dès le moment où le patient exerce son pouvoir décisionnel, il reprend le contrôle de son argent et de sa santé et cesse de nourrir le système de maladie, la médecine «scientifique». Faute de nourriture, le système établi s’éteint. Sans argent, plus de système.

Qui sont-ils ceux qui se prétendent nos supérieurs ? Que quel droit s’imposent-ils pour décider pour nous ce qui est bon pour nous ? Personne, absolument personne, n’a le droit de décider pour nous, ni de nous juger. Ne laissons personne usurper notre droit fondamental d’autogestion et de libre choix.


À force de remettre notre autorité individuelle entre les mains des autres, nous avons donné naissance aux monstruosités gouvernementales qui nous régentent aujourd’hui. Des technocrates qui ne connaissent que des chiffres et des théories prennent des décisions au sujet de notre santé. Nous ne pouvions faire pire. Et ils le savent. Pour continuer de garder leur pouvoir, ils sèment la zizanie entre nous. Pendant que nous sommes occupés à nous disputer entre nous, ils continuent de faire la pluie et le beau temps avec notre santé et notre argent.

L’employeur est celui qui paie le salaire de quelqu’un, directement ou indirectement. Le patient fait vivre le système médical. Il est l’employeur. Le médecin ou le thérapeute est l’employé. Nous sommes l’employeur des autorités médicales et politiques.

Notre employé :

  • Décide sans nous consulter,
  • Dépense sans compter,
  • Nous vole notre argent contre notre volonté,
  • Fait des lois pour nous contrôler,
  • Installe des systèmes électroniques pour nous surveiller,
  • Paie des juges pour nous condamner,
  • Paie des policiers pour nous cueillir,
  • Paie des soldats pour nous mater,
  • Vote son propre salaire, ses augmentations et sa pension.

Et tout cela avec notre propre argent. Jamais nous ne tolérerions pareil désordre dans notre entreprise. C’est cependant ce que nous faisons pour une entreprise plus grande : la santé et la société.

Réalisons que la cuirasse de l’ennemi est faite de papier : les billets de banque que nous lui fournissons docilement et quotidiennement. Son pouvoir réside dans l’argent que nous lui donnons. Si nous cessons de nourrir la bête, elle mourra de faim, tout simplement et disparaîtra.

Jamais d’armes ni de sang. Les autorités sont passées maîtres dans l’art de nous faire battre entre nous. C’est leur tactique préférée. Ne tombons pas dans le panneau. Rappelons-nous toujours qui est notre ennemi. Ne tapons surtout pas sur la tête de nos sœurs et frères, fussent-ils de race, de religion ou d’allégeance différente.

Depuis des siècles, nous répétons que «l’homme est un loup pour l’homme», sans réaliser que l’homme est un être humain, capable de transcender ses instincts, tandis que le loup est un animal soumis. Abaissons la nature humaine et nous nous comporterons en animaux soumis. Élevons-la, et nous nous comporterons comme des souverains. À nous de choisir. Nous sommes les créateurs de notre futur.

Capitalisme, socialisme, communisme, islamisme, libéralisme sont tous des régimes identiques. Seule l’étiquette varie. Tous ces régimes ont un dénominateur commun: le contrôle de la majorité par une minorité. Le pouvoir entre les mains d’une bande de privilégiés qui font passer les lois nécessaires au maintien de leurs privilèges.

La sécurité est une illusion que l’on implante dans la tête des gens pour les contrôler, les exploiter et s’enrichir à leurs dépens. La sécurité n’existe pas. Regardons les fleurs : elles naissent, s’épanouissent, fanent, meurent… Puis elles renaissent. C’est cela vivre. Des fleurs en sécurité s’appellent des fleurs séchées. Elles sont belles toute l’année, elles ne risquent rien. Mais elles sont mortes. La sécurité, c’est la mort des individus. »

Source : Extraits de « La mafia médicale » de Ghislaine Lanctôt qui bien sûr a subit d’énorme menaces, voir même de la prison.

 via  Source

 

 

 

 

 



15/09/2012

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