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L’opinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et les moyens financiers mis à sa disposition

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"L’opinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et les moyens financiers mis à sa disposition." 

 

Lors de cette déclaration du « bon docteur » Albert Schweitzer, ce dernier  ne connaissait pas encore l’étendue du désastre et le total asservissement des grands médias au pouvoir de l’argent. 

En France, et souvent ailleurs, la presse indépendante n’existe pas, alors que l'article 11 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, qui date de 1789, a pourtant établi les principes de la liberté de la presse car la libre communication des opinions est un des droits essentiels de tout citoyen des pays démocratiques.

Cela n’a pas empêché Napoléon de transformer la presse en instrument d’endoctrinement et de faire du Moniteur le représentant de l'opinion, tout en interdisant les publications qui lui étaient hostiles. L’empereur s’en glorifia plus tard, lors de son exil à Sainte-Hélène. « J'ai fait du Moniteur l'âme et la force de mon gouvernement ainsi que mon intermédiaire avec l'opinion publique du dedans comme du dehors ». Cette déclaration pourrait être reprise par notre gouvernement.

Au début du dix-neuvième siècle, l'information se transforma peu à peu en marchandise dont la valeur variait en fonction de l'offre et de la demande, pour en arriver au point extrême de la désinformation actuelle ou, ce qui est sans doute pire, la contre-information.

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À cette époque, les journalistes avaient pour but principal la véritable information et non le désir de faire de l'audience afin de rapporter de plus en plus d’argent aux patrons des journaux.

Comme le proclamait un slogan RTL : « Les infos, c'est comme le café, c'est bon quand c'est chaud et quand c'est fort ». Aussi aucun journaliste ne se prive de diffuser du spectaculaire, souvent au détriment de la véritable information, et l’étiquette « Vu à la télé » est actuellement considérée comme une référence. En revanche, pour le commun des mortels, « si la télé n’en parle pas, c’est que cela n’existe pas ».

Mais il ne faut jamais perdre de vue que les grands médias sont à la solde d’importants groupes financiers et ne peuvent de la sorte prétendre être indépendants. Heureusement, il reste encore des journalistes honnêtes, soucieux de s’informer et d’informer leurs lecteurs, mais la plupart d’entre eux sont obligés de s’autocensurer pour conserver leur poste.

En effet, en France, la majorité des publications économiques sont contrôlées par des actionnaires industriels, et les publications médicales sont diffusées par les grandes compagnies pharmaceutiques. Cette dépendance ne peut que nuire à l’objectivité de l’information. Peu de journaux sont parfaitement indépendants à part Le Canard enchaîné, mais ses journalistes rencontrent de nombreuses difficultés pour mener de longues enquêtes sur de puissantes entreprises, car la réputation du journal leur ferme des portes. 

Quant à la presse médicale — à l’exception de deux revues indépendantes : Prescrire et Pratiques, qui ne vivent que de leurs abonnements —, elle est entièrement à la solde des laboratoires et maquille en articles scientifiques des pages entières de publicité rédactionnelle. Il est manifeste que les rares dissidents qui refusent de partager ce gâteau ou s’insurgent contre ces procédés ne peuvent que rencontrer des désagréments sur leur chemin et personne ne se risque à leur venir en aide.

Les méthodes utilisées pour paralyser un journal ou sanctionner un journaliste qui ose sortir de la pensée environnante sont très nombreuses et variées. Elles vont du harcèlement aux pressions économiques et fiscales, et peuvent même porter atteinte aux avantages nécessaires à l'exercice de son métier.

Mais tous les Français ne se laissent pas duper. Nous avons récemment appris que leur pourcentage de confiance accordée aux médias ne cesse de baisser. Cette suspicion met en cause la mission de l'information qui devrait avant tout être objective et ne pas essayer d’orienter l'opinion des citoyens.

 

3093515150_fd52686ce9.jpgTout cela aggrave la crise qui sévit dans la presse internationale, car ce phénomène n’est pas typiquement français. En Grande-Bretagne et aux États-Unis, les principaux journaux ont vu leurs ventes baisser au cours des dernières années. En France, le groupe Havas, propriétaire d'un ensemble d'agences de publicité, s'est allié à Alcatel afin de régir certains journaux influents tels L'Express, Le Point, ou même le Courrier international.

La presse, qui s'est jusqu’à présent érigée en contre-pouvoir politique, tend de plus en plus à s'identifier à lui, faisant ainsi régresser la démocratie, parfois de manière scandaleuse.

Cependant, si les journalistes jouent le rôle de désinformateurs, c’est qu’ils sont eux-mêmes conditionnés à un point dont ils ne se rendent pas compte. Les financiers et les marchands qui ont fait main basse sur l'essentiel des médias n'ont pas besoin de dicter aux journalistes ce qu'ils ont à dire ou à montrer. Ils n'ont pas besoin de violenter leur conscience ni de les transformer en propagandistes. Ainsi, il suffit de confier les rênes du pouvoir journalistique à des gens qualifiés de « grands professionnels » qui ont toujours donné des gages de leur soumission à une vision du monde qu’ils partagent avec leurs employeurs.

Ce dispositif se met en place dès l'arrivée dans les écoles de journalisme pour continuer dans les rédactions. Ainsi, la plupart des journalistes agiraient de concert sans avoir besoin de se consulter, partageant entièrement l’opinion qu’il est de bon ton d’afficher où tout est banalisé pour désamorcer l'analyse critique et servi pour émouvoir. 

Certes, il reste encore des journalistes honnêtes et courageux, soucieux d’informer leurs lecteurs, mais nombre d’entre eux sont obligés de s’autocensurer pour conserver leur poste. Dans certains cas épineux, quelques rédacteurs préfèrent s’abstenir alors que d’autres n’hésitent pas à répandre la contre-information.

On dit souvent que le quatrième pouvoir fait suite aux trois pouvoirs classiques (pouvoir législatif, pouvoir exécutif et pouvoir judiciaire). Aux États-Unis, on parle dequatrième branche du gouvernement par analogie aux branches exécutive, législative, et judiciaire du gouvernement fédéral américain. Certains ont rajouté à cette liste un cinquième pouvoir, qui serait celui de l'opinion publique. Ces considérations mènent à se demander s’il faut être étranger pour « oser » dénoncer les travers de nos gouvernants.  

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Les médias ne sont pas les seuls responsables

Comme l’explique Noam Chomsky, philosophe radical de réputation internationale et professeur au MIT (Massachusetts Institute of Technology) : « Les médias ne représentent qu'une toute petite partie de la vaste machine de propagande. Il existe un système d'endoctrinement et de contrôle beaucoup plus vaste, dont les médias ne sont qu'un rouage : l'école, l'intelligentsia, toute une panoplie d'institutions qui cherchent à influencer et à contrôler les opinions et les comportements, et dans une large mesure à maintenir les gens dans l'ignorance. »

Les nombreux scandales qui jalonnent notre quotidien, et auxquels nous sommes tellement habitués que personne ne proteste vraiment, sont engendrés par la seule loi du profit. Les hommes n’ont pas vraiment changé depuis l’Antiquité et nous adorons toujours le veau d’or.

De surcroît, tous les pouvoirs utilisent la peur pour mieux dominer, et ceux qui font profession de « savoir » pratiquent savamment cette stratégie parfaitement efficace qui permet d’obtenir la dépendance des citoyens. Cet instrument de manipulation, qui permet d’abolir tout sens critique et d’exploiter la crédulité des populations en les maintenant dans l’ignorance des faits essentiels de l’existence, a toujours été utilisé, mais à présent il opère sur une plus grande échelle grâce aux multiples moyens de diffusion. 

Il y a quelques années, le Pr Jean Paul Escande a dénoncé ces peurs savamment entretenues dans son ouvrage J’accuse les marchands de peur : « Si nous n'y prenons garde, nous allons nous faire aspirer par les sables mouvants de peurs imbéciles. Nous pouvons nous y abîmer, nous et toutes nos richesses. En un temps qui redevient païen et qui honore deux idoles premières — l'argent et le chiffre — il était inévitable que je découvre, au centre du phénomène de la peur, des “marchands” de peur. Tout est à vendre. La peur est à vendre. L'achat est obligatoire. Et chacun, responsable ou tâcheron, doit acquérir sa “dose” pour être autorisé à espérer quelque plaisir que ce soit. »

En effet, chaque jour, tout en ressassant les progrès et surtout les « espoirs » scientifiques, économiques et sociaux de notre époque qui devraient logiquement nous apporter le bonheur et la sécurité, les médias instillent puis entretiennent avec soin la peur chez les citoyens : peur de la maladie — cancer, sida ou cholestérol —, de la vieillesse, de la mort, et même de la vie.

Nous trouvons toujours un ennemi à combattre : microbes, virus, insectes, « mauvaises » herbes, «  mauvais » gènes, et même « l’autre », lorsqu’il nous semble différent de ce qui est admis et admissible.

On nous répète que nous sommes continuellement menacés par des facteurs extérieurs, que nos vies ressemblent à un parcours semé d’embûches et de catastrophes programmées contre lesquelles nous devons être bien assurés — heureusement, nos gouvernements sont là et nous protègent —, alors que les vrais dangers, ceux qui devraient sinon affoler mais tout au moins faire réfléchir les citoyens, sont presque toujours passés sous silence ou à peine survolés.

Ainsi, on évoque trop rarement les risques liés à l’exploitation abusive de la planète par une poignée d’individus fous dangereux qui se moquent de la pollution mondiale et des déchets nucléaires, ou qui jouent aux apprentis sorciers avec les gaz de schiste, le clonage, la génétique et les virus.

De toute manière, les médias font un gros battage autour des maladies qui peuvent générer des capitaux pour la recherche, telles les maladies « génétiques », mais se gardent bien de mettre l’accent sur celles dont notre civilisation est responsable. Les gènes sont de parfaits boucs émissaires et ne risquent pas de protester.   

 

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Nous ne pensons plus par nous-mêmes

À notre époque de « surmédiatisation », l’homme n’est plus habitué à penser par lui-même, d’autres se chargeant de le faire pour lui. Combien d’entre nous obéissent aveuglément aux ordres du pouvoir et aux normes d’une morale que la société a faites siennes. Pour penser « juste » de nos jours, il faut penser comme les autres, même si les autres sont loin d’être des modèles du genre.

L'homme aime imiter ses semblables. C’est ce besoin qui permet à la mode d'influencer le comportement de milliers d’individus, qu’il s'agisse de vêtements ou d’opinions politiques ou artistiques. Combien d’entre nous ont vraiment des opinions personnelles sur ces sujets et, dans ces cas, combien osent les exprimer ? Dans son ouvrage Des opinions et des croyances, Gustave Le Bon a signalé que : « Par le fait seul qu'il fait partie d'une foule organisée, l'homme descend de plusieurs degrés sur l'échelle de la civilisation. Isolé, c'était peut-être un individu cultivé, en foule c'est un barbare, c'est-à-dire un instinctif. Il a la spontanéité, la violence, la férocité, et aussi les enthousiasmes et les héroïsmes des êtres primitifs. Il tend à s'en rapprocher encore par la facilité avec laquelle il se laisse impressionner par des mots, des images — qui sur chacun des individus isolés composant la foule seraient tout à fait sans action — et conduire à des actes contraires à ses intérêts les plus évidents et à ses habitudes les plus connues. L'individu en foule est un grain de sable au milieu d'autres grains de sable que le vent soulève à son gré. »

Heureusement une partie de la population commence à prendre conscience que tous ceux qui détiennent un pouvoir en profitent impunément et que la plupart des hommes politiques sont, de gré ou de force, les otages des compagnies industrielles qui pourraient influencer leurs carrières politiques.

Quant aux technocrates, à l’instar des cartels de l’industrie, ils ne raisonnent qu’à court terme et refusent de prendre en compte les effets pernicieux engendrés par leurs décisions actuelles, mais qui n’apparaîtront qu’à long terme. Tous ces profiteurs semblent oublier leurs descendants qui risquent de payer très cher cette inconséquence et ce manque de conscience.

Un infime pourcentage de Français, parfaitement informés de cet état des choses, s’appliquent à actualiser leurs connaissances au fil des événements. Une partie plus importante, mais encore minoritaire, n’est pas vraiment informée ; cependant elle cherche à l’être. Enfin, la majorité, non seulement des Français mais aussi des populations mondiales, est ravie de ne pas être informée et ne cherche surtout pas à l’être. Cela lui poserait de nombreux problèmes, l’obligerait à réfléchir alors qu’elle n’en a pas la moindre envie, et installerait chez elle des états d’âme, des peurs, des culpabilités et, surtout, risquerait de provoquer la remise en question de tout un système de vie et de pensée.

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Pour parvenir à leurs fins dans leur course actuelle au profit, les multinationales ne reculent devant aucune pratique, qu’elle soit légale ou pas, morale ou pas, pour atteindre leur but avoué : les « parts de marché », et n’hésitent pas à recourir à la collaboration d’une intelligentsia scientifique qui navigue entre les intérêts économiques et l’apprentissage de la sorcellerie.

« Notre science actuelle est devenue tellement réductionniste que des pans entiers de la réalité ont été supprimés sous prétexte que l’intelligentsia qui dirige le système est incapable de les intégrer (comme une information dans un ordinateur). Cela dépasse leur structure. La réalité n’est pas réductible à ce que peuvent concevoir les hommes en fonction de leur évolution. Elle est. », constate la biologiste Jacqueline Bousquet.

 

L’expérimentation scientifique est elle-même une technique de manipulation. Le savoir actuel des scientifiques n’est plus réfléchi et examiné comme il le fut si longtemps, il est à présent concentré dans des banques de données gérées par des ordinateurs et à la disposition de pouvoirs manipulateurs, qu’ils soient économiques ou politiques.

 « Lorsqu’il s’agit de promettre la lune pour obtenir des crédits, les promoteurs scientifiques n’ont rien à apprendre des promoteurs immobiliers », constatait Michel Schiff dans son ouvrage L’Homme occulté.

Quant à Edgar Morin, directeur de recherche au CNRS, il remarque, lui aussi, que l’objectivité n’est pas une qualité propre aux esprits scientifiques : « De très grands esprits, des prix Nobel, des savants éminents se comportent en dehors de leur laboratoire comme des êtres passionnels, pulsionnels, aux opinions sur la société et la politique [...] plus déplorables encore, vu le prestige dont ils jouissent et les erreurs qu’ils propagent. » (Cf. Science avec conscience, Éd. du Seuil).

Combien de fois avons-nous appris qu’une information considérée comme vraie pendant très longtemps et répétée à l’envi était erronée ? 

Lorsqu’il est question de défendre leur territoire, les dissensions des politiques s’effacent devant l’intérêt général. Comme le disait avec humour Philippe Bouvard : « Quand il s’agit de parler de ce qu’on ignore, de caresser le corps électoral dans le sens des revendications, de feindre des sentiments qu’on n’éprouve pas toujours et de se contredire d’une année sur l’autre, la formation dispensée par le Conservatoire d’art dramatique apparaît infiniment supérieure à l’enseignement de l’École nationale d’administration. »

Il est vrai qu’aujourd’hui les pouvoirs et ceux qui sont leurs instruments ont remplacé la notion de responsabilité par celle d’indemnisation. Tout est alors bien plus simple : en cas d’erreurs, et certaines sont criminelles en matière de santé publique, il suffit d’indemniser les victimes — le contribuable est là pour ça — et tout rentre dans l’ordre ! Mais alors, s’il est vrai que la loi est la même pour tous, pourquoi mettre en prison les escrocs au lieu de leur permettre d’indemniser les familles des victimes ?

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Deux exemples très récents illustrent mes propos : Le nouveau règlement de l’Agence du médicament prévoit des sanctions pénales de 15 000 euros et un an de prison aux membres trop bavards du comité en charge de la pharmacovigilance en cas de « manquement à l’obligation de confidentialité », alors que le nouveau patron de l’Agence avait promis la transparence. Cependant, personne ne s’était fait d’illusions à ce sujet, connaissant les allers et retours de nos gouvernants qui ignorent ce que signifie le mot « promesse », qu’elle soit électorale ou non.

 

De même le Dr Martine Perez a confié au Figaro ce 25 juin, sans jamais citer de sources indépendantes, (elle aurait du mal à en trouver) que la vaccination pourrait réduire de 75 % le risque de cancer du col de l’utérus, ce qu’on ne pourra savoir que dans plusieurs dizaines d’années.

Elle s’est bien gardée de dire que 90 % des infections sont asymptomatiques et guérissent sans traitement. La durée moyenne de l'infection localement détectable varie de 6 à 14 mois. Dans les 2 à 4 ans, seulement 15 % à 25 % des lésions cervicales épithéliales de bas grade évoluent vers le haut grade. Ce virus est très commun et se retrouve chez 80 % des hommes et des femmes. La plupart d’entre nous ont subi sa présence sans en avoir souffert et n’en sont pas morts.

Une étude espagnole, dirigée par Silvia de Sanjosé et comprenant 973 femmes, a analysé la prévalence des divers sérotypes de papillomavirus humains dans la population générale féminine de Barcelone. Cette prévalence, tous types confondus, était de 2,98 % ce qui démontre que la vérité n’a rien à voir avec la propagande de Sanofi Pasteur MSD. Parmi les 29 femmes ayant contracté une infection par un papillomavirus, soit 29 sur 973, aucune n’était infectée par les HPV 18, et six l’étaient par le HPV 16. Aucune ne l’état par au moins deux des quatre sérotypes du Gardasil®.

Et madame Perez, qui se prétend médecin et journaliste indépendante, de persister à affirmer dans le même numéro du journal : « À ce jour, aucun effet indésirable majeur lié ce vaccin n'a été identifié, alors que 56 millions de doses ont été utilisées dans le monde. » Madame Perez doit être aussi aveugle que sourde sinon comment pourrait-elle expliquer les plus de 136 décès connus et reconnus et les 30 000 effets secondaires dont les très nombreuses hospitalisations et séquelles graves, survenus après ces vaccinations par le Gardasil® et le Cervarix® depuis leur mise en vente ? Comment pourrait-elle également expliquer l’indemnisation par les autorités américaines de près de 6 millions de dollars déjà accordée à une petite cinquantaine de plaignants dont les proches de deux jeunes filles décédées après cette vaccination alors qu’il est de notoriété publique que seulement 1 à 10 % sont officiellement déclarés ? 

Le plus grave est que ces fausses informations ont été publiées par Le Figaro auquel certains font encore confiance, ce qui ne saurait durer dans ces conditions ! Et les exemples comme celui de madame Perez fleurissent à tout bout de champs

 

Source

 

Pour en savoir + sur la propagande

Edward Bernays, père de la propagande

 



16/07/2013

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