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Sarkozy bilan

  •  La signature du traité européen contre l’avis référendaire du peuple Français
  •  Les multiples censures du conseil constitutionnel sur des projet de loi portés par Sarko1er et son gouverment (un record sous la Veme République)
  •  l’utilisation du contre-espionnage pour des affaires privées
  • la main mise sur la presse radio télévisée nationale
  •  les fils Pierre et Jean et les Balkany invités dans les voyages officiels à l’étranger alors qu’ils ne représentent aucun intérêt pour le bien de la nation.
  •  l’affaire Takieddine (patrimoine de 40 m€ non imposé, Karachigate, SAWARI II, MIKSA (350 millions d’euros), contrats avec la Libye et commissions occultes, tractations obscures avec la Syrie, la protection qu’il a ou a, eu selon Mediapart, de la DGSE
  •  l’affaire Tapie, enrichie d’évasion fiscale du magot vers la Belgique
  •  l’affaire Clearstream
  •  les affaires Wildenstein
  • l’affaire Bettencourt
  • les affaires de Compiègne
  • l’affaire Peugeot
  •  l’affaire Abdallah Senoussi, bras droit de Kadhafi, patron des services spéciaux libyens et beau-frère de Kadhafi, condamné à une peine de perpétuité en France dans l’affaire de l’attentat contre le DC10 d’UTA et visé depuis lors par un mandat d’arrêt international., que Guéant et Sarkozy ont tenté de protéger
  •  l’invitation des dictateurs pour le 14 juillet, celle de Kadhafi avec les ors, le tapis rouge, les petits plats dans les grands, celle d’El Assad en décembre 2010, le copinage avec Dos Santos, les silences sur le Tibet, le Darfour, le prix Nobel de la paix, la présence l’ouverture des JO de Pékin et le fils Louis dans les bras de Poutine
  •  l’affaire de la Jatte, du Fouquet’s payé par Desmarais, du Paloma payé par Bolloré, de la villa mexicaine, de Wolfeboro payé par les dirigeants de Prada et Tiffany, des repas au Bristol 2 fois par semaine, du voyage en Egypte …
  •  les vaccins du virus H1N1
  •  les accords entre l’UMP et le Parti Communiste Chinois, l’UMP et la mairie de Paris pour payer les frasques de Chirac, l’envoi par l’UMP des bulletins d’adhésion aux restaurateurs dans la période de la baisse de la TVA à 5,5 %
  •  les affaires Yade, Boutin, Copé, Juppé, Joyandet, Bertrand, Blanc, Estrosi, Lefebvre, Santini, Proglio, Amara, Laporte, Péchenard, Mitterrand, Ouart, Solly, Soubie, Richard, Fillon, Squarcini, Marleix, Charon, Longuet, Bachelot, Mignon, Morano, Giacometti, Besson, Courroye,Tron, Laroque (Baroin), Guéant (contrats avec la Libye), Dupuydauby …
  •  les légions d’honneur (Servier, Widenstein, Desmarais, Frère, Maistre, Peugeot etc.)
  • l’Air Sarko One (250 millions d’euros dont 50 % de dépassement selon René Dosière) et ses deux fours à plus de 131 000 € (TTC et avec l’étude), le cocktail de New York à 400 000 euros, le dîner pour l’UPM à 1 million d’euros
  •  la proposition de loi sur la déchéance de la nationalité française et son extension, et le débat sur la nationalité, le fichier EDVIGE, Wauquiez et son cancer de la société, le RSA
  • l’affaire de la rémunération illégale de septembre au 31 décembre 2007 (rémunération comme ministre de l’intérieur alors que Nicolas Sarkozy est président), l’augmentation stratosphérique, le divorce, le mariage, l’inscription hors délai sur les listes électorales, la déclaration des impôts en retard, le tout illégal ou non pénalisé
  •  la circulaire Hortefeux, ses amitiés avec Takieddine, ses déclarations d’Auvergnat, celles de Guéant dont celles répétées sur l’échec scolaire des enfants d’immigrés, l’autre récidiviste, celles de Guaino (béatification, prison, etc.)
  • les ministres aussi maires ou élus, le mélange des genres, la non séparation de l’exécutif et du législatif avec le retour sans élection des députés virés du pouvoir
  • l’affaire de l’espionnage des journalistes par le contrespionnage
  •  l’affaire de la validation des comptes de campagne de Balladur et de Chirac
  • l’affaire Bongo
  • la proposition de MAM d’aide à Ben Ali et son pouvoir pendant la révolte tunisienne, les lacrymos et son voyage entre Noël et le jour de l’an et ses quatre mensonges fondamentaux, les petites affaires des parents, et Ollier (ses amitiés libyennes en plus), l’utilisation de la Libye et du Japon par Nicolas Sarkozy pour raison électorale
  • les vacances de Fillon payées par Moubarak dont la clique a détourné plus de 45 milliards de $ et dont 3 ministres ont été arrêtés pour corruption et détournement de fonds publics, et sa justification, celles Sarkozy au Maroc. Et la Ferrari prêtée en 2009 en pleine crise à Fillon, ses voyages à 27 000 € pour retourner en Sarthe alors que le train met 1h20...
  • ETC..
 
 
 
 
 
 

 

 

 

Incroyable, mais vrai ! Un beau matin de 2007, nos dirigeants et gouvernants se sont réveillés et miracle de la bonne aubaine, la crise financière (1) était là et pouvait servir de faire-valoir pour justifier toutes les erreurs commerciales, politiques et bien entendu financières commises précédemment, et depuis, c’est devenu une vérité absolue ; tout ce qui arrive, c’est de la faute à la crise, alors que : 

 

 

 

Voici quelques chiffres, car eux ne mentent pas.

Sous la Présidence de Monsieur François Mitterrand (13 ans, 11 mois et 26 jours), la dette publique de la France était :

- À son arrivée, en 1981, de 110,1 milliards d’euros (INSEE)

- À son départ, en 1995, elle était de 662,8 milliards d’euros (INSEE)

Sous la Présidence de Monsieur Jacques Chirac (11 ans, 11 mois et 29 jours), la dette publique de la France était :

- À son arrivée, en 1995, de 662,8 milliards d’euros (INSEE)

- À son départ, en 2007, elle était de 1 208,9 milliards d’euros (INSEE)

Sous la Présidence de Monsieur Nicolas Sarkozy (3 ans, 6 mois et 16 jours, date de l’article), la dette publique de la France était :

- À son arrivée, en 2007, de 1 208,9 milliards d’euros (INSEE)

En 2008, elle était de 1 315,1 milliards d’euros (INSEE)

En 2009, selon une évaluation de l’Insee, elle serait de 1 489 milliards d’euros

- considérant une progression constante de 10 % l’an (ce n’est qu’une projection basée sur les deux années de son mandat, un différentiel de 8,8 % entre 2007 et 2008, et 13.2 % entre 2008 et 2009).

En 2010, elle devrait être aux alentours de 1 637 milliards d’euros

En 2011, elle devrait être aux alentours de 1 800 milliards d’Euros

En 2012, elle devrait être aux alentours de 1 980 milliards d’Euros

En deux mandats (14 ans), M Mitterrand a créé un différentiel de 552,7 milliards d’euros

En deux mandats (12 ans), M Chirac a créé un différentiel de 546,1 milliards d’euros

En un seul mandat (5 ans), M Sarkozy créera un différentiel de 771,1 milliards d’euros

En admettant que durant les deux dernières années du mandat présidentiel qui n’ont pas encore été effectuées, la croissance de la dette publique ne soit que de 5 %, Monsieur Nicolas Sarkozy aura créé un différentiel de 595,1 milliards d’euros en un seul quinquennat.

En réalité, Monsieur Nicolas Sarkozy n’a pas réduit la dette publique, comme il l’avait promis, au contraire, comme les Présidents Mitterrand et Chirac, il n’a fait que l’augmenter tout en appliquant plus de rigueur budgétaire que ses prédécesseurs, mais comment fait-il, pour « gagner plus, tout en dépensant moins » ?

C’est un fait, la dette publique est en croissance exponentielle, mais pas le Produit Intérieur Brut, qui était plutôt stable, sauf sous le mandat de Monsieur Chirac, où il était en légère augmentation, ce qui explique le faible taux en pourcentage de la dette publique, qui a certes augmenté, mais dont les effets négatifs ont été amoindris par l’augmentation du PIB.

Voici encore quelques chiffres, car eux ne mentent pas.

Sous la Présidence de Monsieur François Mitterrand

En 1981, à son arrivée, la dette publique représentait 22 % du PIB.

En 1995, à son départ, la dette publique représentait 55,5 + 23,5 % en 14 ans

Sous la Présidence de Monsieur Jacques Chirac

En 1995, à son arrivée, la dette publique représentait 55,5 % du PIB.

En 2007, à son départ, la dette publique représentait 63,8 % + 8,3 % en 12 ans

Sous la Présidence de Monsieur Nicolas Sarkozy

En 2007, à son arrivée, la dette publique représentait 63,8 % du PIB.

En 2009, à mi-mandat, la dette publique représente 78 1 % 14,3 % en seulement 3 ans, et ce n’est pas fini. Pour le verdict, rendez-vous en 2012.

Mais sommes-nous vraiment en crise ? 176 millions d’Euros pour un avion présidentiel flambant neuf (6). Ce n’est qu’environ 1/2000 de 346,2 milliards d’euros (budget de l’État français de 2010) (7).

Nous savons tous que la croissance de la dette publique est négative et ne peut que nuire au pays, mais visiblement c’est la seule croissance que toutes ces têtes pensantes sont capables de produire, et il ne faut pas oublier que plus la dette augmente, plus les intérêts de la dette augmentent aussi.

Dans quelques années, et peut-être plus rapidement que l’on pourrait le croire, à moins que la tendance actuelle ne s’inverse véritablement, nous serons dans la même situation que la Grèce, l’Irlande, et tous les autres pays qui vont suivre.

Il y a quelque chose qui m’échappe, ce doit certainement être le fait que je ne sois que simple citoyen et non, Président de la République, donc, le simple citoyen que je suis ne doit pas être assez évolué pour comprendre les hautes stratégies concoctées au plus haut sommet de notre État pour inverser des tendances qui produisent les effets inverses de celles qui sont escomptées.

Gouvernance de droite, ou gouvernance de gauche, même combat, détruire l’économie Française, et plus grave encore, les emplois qui sont si rares de nos jours. Si vous ne me croyez pas, croyez en tous ces chiffres, ils parlent d’eux-mêmes.

 


Mais tout cela n’est rien, continuez à dormir braves gens, l’État veille toujours sur vous.


L'article entier ici

 

http://www.agoravox.fr

 

 

 

 

 



10/09/2011

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